Articles de journaux « Je ne peux pas parler parce que mon violeur habite dans le camp » Mérancourt, Widlore 2021 dans AyiboPost Mots-clés justice/sécurité violences Résumé Résumé : La violence des gangs oblige des milliers de familles à fuir leurs maisons à Port-au-Prince. Certains courent cependant à la rencontre de la brutalité à l’intérieur des camps, éparpillés dans la capitale. Lien externe https://ayibopost.com/je-ne-peux-pas-parler-parce-que-mon-violeur-habite-dans-l…