In this chapter the author constructs an alternate way of teaching about Haitian womanhood which creates a more nuanced and developed understanding of the many lives Haitian women may lead. The Kreyol saying “fanm se poto mitan” is well known in Haiti to mean that women are the central pillar that uphold society, they are indispensable, strong and resilient. However, Jean-Charles argues that the poto mitan is a restrictive representation of Haitian women that expresses the burdens that they must take on as the unwavering pillar. The chapter provides various intersectional texts to diversify and give nuance the current teaching environment when it comes to Haitian women and their experiences. (Summary by Mouka)
Dans ce chapitre, l’auteure construit une autre façon d’enseigner la féminité haïtienne qui permet une compréhension plus nuancée et plus développée des nombreuses vies que peuvent mener les femmes haïtiennes. Le dicton kreyol « fanm se poto mitan » est bien connu en Haïti pour signifier que les femmes sont le pilier central qui soutient la société ; elles sont indispensables, fortes et résistantes. Cependant, Jean-Charles soutient que le poto mitan est une représentation restrictive des femmes haïtiennes qui exprime les fardeaux qu’elles doivent assumer en tant que pilier inébranlable. Le chapitre propose différents textes intersectionnels afin de diversifier et de nuancer l’environnement pédagogique actuel lorsqu’il s’agit des femmes haïtiennes et de leurs expériences. (Résumé par Mouka)