In the wake of Haiti’s disastrous earthquake, international organizations have begun to recognize gender-based violence as a significant area of concern, particularly within Port-au-Prince’s internally displaced persons (IDP) camps. Other forms of gender-based violence include not only rape, but also sexual abuse. Sexual violence is often underreported or not reported at all. This lack of data can prevent accurate assessments of rates of violence or trends. Grassroots organizations are working to reduce and better document sexual violence and to establish local mechanisms for increasing security throughout Haiti’s tent encampments. À la suite du tremblement de terre désastreux qui a frappé Haïti, les organisations internationales ont commencé à reconnaître la violence sexiste comme un sujet de préoccupation important, en particulier dans les camps de personnes déplacées à l'intérieur du pays (PDI) de Port-au-Prince. Les autres formes de violence sexiste comprennent non seulement les viols, mais aussi les abus sexuels. Les violences sexuelles sont souvent sous-déclarées ou ne sont pas déclarées du tout. Ce manque de données peut empêcher une évaluation des taux de violence ou des tendances fidèle à la réalité. Les organisations de base s'efforcent de réduire et de mieux documenter la violence sexuelle et d'établir des mécanismes locaux pour accroître la sécurité dans les camps de tentes d'Haïti. (Traduit par Mouka)
Security After the Quake? Addressing Violence and Rape in Haiti
2011
dans
Résumé
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