L’occupation américaine provoque un rapprochement de la société haïtienne de leurs origines africaines plutôt qu’au contexte français. La recherche de l’identité haïtienne prend un nouveau sens dans un mouvement nationaliste contre la discrimination ethniques par les Américains. Un mouvement qu’il est possible de trouver dans la littérature haïtienne de l’époque et qui a permis aux femmes écrivaines d’avancer le féministe. Celles-ci vont exposer dans leurs œuvres les notions de nationalité, de classe sociale et de sexualité. Cet article discute des œuvres de Marie Chauvet, Marie-Thérèse Colimon et Paulette Poujol Oriol, qui présentent chacune l’origine africaine lointaine en Haïti, qui vient de leur couleur, de leur religion ou de leur culture. (Résumé par Mouka)
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