This article explores the Haitian legislative system and the question of why laws protecting women and children, or feminist laws are rarely passed without some form of struggle. Pelletan discusses the introduction of a new responsible paternity law as an example of a law that took many years and hard work from feminist groups to be voted on and finally passed. Despite Haiti having a quota for public services to employ at least 30% women, the Haitian senate rarely votes on, passes or implements laws that protect women and increase their quality of life. (Summary by Mouka)
Cet article explore le système législatif haïtien et la question de savoir pourquoi les lois protégeant les femmes et les enfants ou les lois féministes sont rarement adoptées sans une certaine forme de lutte. Pelletan évoque l'introduction d'une nouvelle loi sur la paternité responsable comme un exemple de loi qui a nécessité de nombreuses années et un travail acharné de la part de groupes féministes pour être votée et finalement adoptée. Bien qu'Haïti ait un quota pour que les services publics emploient au moins 30% de femmes, le sénat haïtien vote, adopte ou met en œuvre rarement des lois qui protègent les femmes et améliorent leur qualité de vie. (Résumé par Mouka)
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