Previous research has shown a post-disaster increase of Gender Based Violence [GBV], suggesting a need for further investigation of the phenomena and its causes. This research draws together a wide-ranging collection of secondary data sets concerning disasters and gender based violence. It analyses the social environment in post-disaster settings that breeds an increase in GBV with focus on Sexual Gender Based Violence[SGBV] and Intra Personal Violence [IPV]. Through a comparison of two case studies: (a) post-earthquake Haiti and (b) post-hurricane Katrina. The cases are analysed through an analytical framework constructed out of three theories, Eco-feminism, Hyper-masculinity and Situational Theory, which together could give a trustworthy explanation of the phenomena. The findings show that similar factors were prevalent in both cases, and in turn provides insights for the abductively derived framework that relates the causal mechanisms behind the phenomena of post-disaster gender-based violence, building on the commonalities between social environments and structures in the cases. In particular, it was found that a patriarchal root structure and high rates of frustration both provided explanatory causal mechanisms for increased GBV. Though changes in environments can affect the prevalence of GBV as it can provide easier access of victims and lower the risk of penalties in relation to the crimes. In order to address GBV associated with future disasters, post-disaster plans need to adapt a gender mainstreamed approach with focus on safe housing and rapid rebuilding processes for the grass root level.
Des recherches antérieures ont montré une augmentation de la violence basée sur le genre (VBG) après une catastrophe, ce qui suggère la nécessité d'une étude plus approfondie du phénomène et de ses causes. Cette recherche rassemble une large collection d'ensembles de données secondaires concernant les catastrophes et la violence basée sur le genre. Elle analyse l'environnement social dans les contextes post-catastrophes qui engendrent une augmentation de la VBG en mettant l'accent sur la violence sexuelle basée sur le genre (VSBG) et la violence entre partenaires intimes (VPI). À travers une comparaison de deux études de cas : (a) Haïti après le tremblement de terre et (b) après l'ouragan Katrina. Les cas sont analysés à travers un cadre analytique construit à partir de trois théories, l'écoféminisme, l'hypermasculinité et la théorie situationnelle, qui ensemble pourraient donner une explication fiable des phénomènes. Les résultats montrent que des facteurs similaires étaient prédominants dans les deux cas, et fournissent à leur tour des idées pour le cadre dérivé par abduction qui relie les mécanismes causaux derrière les phénomènes de violence sexiste post-catastrophe, en s'appuyant sur les points communs entre les environnements sociaux et les structures sociales dans les cas. En particulier, il a été constaté qu'une structure enracinée dans le patriarcat et des taux élevés de frustration fournissaient tous deux des mécanismes causaux explicatifs de l'augmentation de la VBG. Bien que les changements dans les environnements puissent affecter la prévalence de la VBG puisqu’ils peuvent faciliter l'accès aux victimes et réduire le risque de sanctions liées aux crimes. Afin d'aborder la VBG associée aux futures catastrophes, les plans post-catastrophes doivent adapter une approche intégrée du genre en mettant l'accent sur des logements sûrs et des processus de reconstruction rapide au niveau de la base.