Au début des années 2000, Haïti a vu progressivement la taille de ses mouvements revendicateurs féministes gagner en importance. Les femmes demandent davantage de droits et une voix dans l’espace public. Comme c’est le cas pour la montée de n’importe quel mouvement revendicateur, la prise en importance de celui-ci a comme conséquence la « naissance » d’un contre-mouvement. Le cas du féminisme haïtien ne fait pas exception. Depuis les années 1960, les courants féministes et ces contre-courants vont évoluer au rythme de la société et des aléas qui vont toucher Haïti. Certains vont toutefois se démarquer plus que d’autres. On peut ainsi distinguer trois courants féministes distincts. Le premier courant se veut égalitaire en opposition aux valeurs conservatrices. Le second découle d’une inspiration plutôt politico révolutionnaire basée sur les courants marxistes. Le troisième est plus radical et culturel. (Résumé par Mouka)
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