En 1950, les femmes haïtiennes obtiennent le droit de vote et le droit de se présenter aux élections. Plusieurs revendications féministes deviennent très importantes au XXe siècle comme la liberté d’expression, d’association, d’être candidate, d'être élue et d’effectuer des fonctions politiques. En Haïti, les femmes ne peuvent toujours pas participer à la politique nationale au même degré que les hommes, et ce, malgré l’adoption du principe de quota qui sert à obtenir une représentation égale des sexes au niveau politique. L’auteure établit qu’il s’agit d’une mesure insuffisante dans un contexte où la structure de la politique haïtienne discrimine toujours les femmes. Elle propose trois solutions dont l’aide à accentuer la présence de ces femmes, le soulèvement des préjugés sexistes et de la domination masculine et des mesures pour augmenter le leadership des femmes. (Résumé par Mouka)
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