In this article I begin with the rape epidemic that supposedly shook Haiti following the 2010 earthquake and then trace back in time the role of international aid agencies, activists, foreign governments, Haitian politicians and Haitian opportunist aid entrepreneurs in creating what has become an industry of being “viktim.”

In this paper I take a look at how NGO use of “asosyasyson”–what might better be called cooperatives–have probably hurt the economic autonomy of rural Haitian women. Specifically I look at USAID/Coca Cola/IDB funded Haiti Hope Mango project. The project was implemented by TechnoServ. I don’t mention it here, but we’ve observed a similar phenomenon with fishing associations.

« Moun fou bay chans » est une croyance répandue, qui engendre des viols à répétition sur les malades mentaux en Haïti. Elle aurait permis à des présidents de gagner des campagnes électorales, croit un jeune homme.

Ce texte traite de l’ajout de femmes à des postes décisionnels au sein du gouvernement. Il pose la question suivante : permettront-elles de faire approuver des réformes améliorant la condition de vie de femmes haïtiennes ou seront-elles plutôt l’instrument d’un coup de publicité du gouvernement ? Ces femmes sont-elles rémunérées équitablement, détiennent-elles un réel pouvoir ? Puisque les hommes sont encore majoritaires au sein du gouvernement, en résultera-t-il quelque chose de réellement significatif ?

Dans cet article, l’auteure aborde la question des violences envers les femmes en Haïti. Elle s’interroge sur les causes de ces violences, le contexte haïtien ainsi que la prévalence de ces actes, avant d'offrir quelques pistes de réflexion sur le sujet. (Résumé par Mouka)

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