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28 novembre : Une date symbolique de notre histoire de peuple dans ses luttes pour la liberté d’expression. En 1980, des femmes et des hommes, en particulier des journalistes, ont payé un lourd tribut pour obtenir ce droit précieux. Onè respè pou yo ! Ce droit durement conquis, les féministes entendent l’exercer.

Une augmentation mondiale des violences faites aux femmes est observée à la suite des périodes de confinement dues à la pandémie de la COVID-19. En Haïti, la population était déjà restreinte aux déplacements, depuis 2018, pour des causes politiques. L’étude établit que dans ce pays, les violences envers les femmes augmentent par rapport à la situation politique et non à cause de la proximité accrue des couples pendant la pandémie. C’est plutôt la situation socio-économique, engendrée par un gouvernement inefficace en temps de crise, qui affecte les femmes.

Le 7 novembre 2019, des prisonniers tentent de s’évader de la prison civile des Gonaïves et violent plusieurs détenues. Le contexte de crise du pays aurait causé cette révolte. Cependant, les prisons ont aussi d’autres problèmes tels que le manque de ressources alimentaires et hygiéniques. Cette enquête révèle que la mutinerie aurait pu être évitée si la prison avait été bien approvisionnée en ressources telles que le gaz propane nécessaire à l’alimentation des prisonniers.

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Moun ki tap direije rechèch sa a remèsye SOFA ki te ba li okazyon reyalize travay sa a. Nou salye kouraj ak volonte chak ansyèn kandidat ki te ba nou antretyen yo, temwayaj sou mannyè yo te viv patisipasyon yo nan eleksyon lejislatif 2015 yo. Nou wete chapo devan ekip ankèt an ki genyen Fanise JASMIN, Régine SEIDE, Ruth JOSEPH, Manuella JEAN, Josèphe Winnie PIERRE- FRANCOIS. Senk (5) medam sa yo te montre yo pwofesyonèl, etik epi genyen anpil ladrès nan konstriksyon relasyon ankèt yo.

Le présent texte est une publication de groupes féministe dénonçant leur réalité. Selon elles, l’application de l’État de droit et de la Constitution n’est pas respectée par le pouvoir du président Moïse, qui utilise le concept de démocratie pour ses propres fins et ne se soumet pas à la législation. Le mouvement féministe haïtien le dénonce et réclame l’instauration d’un vrai pouvoir démocratique. (Résumé par Mouka)

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