La fin de la première partie du 20e siècle a apporté avec elle une ouverture sur le monde et une illusion de prospérité globalisante. Avec le rapide développement émerge une bourgeoisie. Outre le statut social, la vision de la femme sur sa place dans la société va diverger. Une rupture va prendre place entre les milieux urbains et les milieux ruraux. Les premiers vont se composer de femmes de la bourgeoise s’associant à un vison influencé par l’occident avec notamment la femme hors du marché du travail et souvent à la maison. Le second va être majoritaire et associé aux valeurs plus traditionnelles et au travail. C’est dans cette dualité que La Ligue Féminine Internationale voit le jour, soutenu par les gemmes de la bourgeoisie avec des revendications occidentalisées. Le mouvement va représenter une minorité souvent discriminante envers le milieu majoritairement rural. Bien que les revendications n’étaient pas en symbiose avec la majorité, le mouvement reste une initiative féministe se voulant louable pour l’avancement du statut légal de la femme. (Résumé par Mouka)
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