Cette étude sur la violence armée en Haïti, centrée sur les femmes communes des Cayes, Port-au-Prince et les Gonaïves, révèle que les sont à la fois victimes potentielles et actrices de cette violence. Les facteurs de risque identifiés, à la fois structurels et idéologiques, alimentent des cycles de violence armée entretenus par des groupes aux motivations diverses, souvent politico-criminels. L'étude clarifie le rôle des femmes dans ces groupes armés, soulignant leur utilisation d'armes non à feu telles que machettes, bouteilles en verre et pierres.
Port-au-Prince
La participation politique des femmes en Haïti : Quelques éléments d'analyse
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La lutte pour l'obtention des Droits Politiques des femmes démarre en 1934 avec la création de la Ligue Féminine d'Action Sociale (LFAS). Ces luttes permirent l'obtention, en 1950, du droit de vote et l'accès à l'égibilité pour tous les postes. En 1957, les Haïtiennes purent exercer, pour la première fois, sans restriction aucune, leurs droits politiques.
Les élections de 1957 portèrent au pouvoir François Duvalier. Durant trente (30) ans, celui-ci instaura une didacture où l'exercice des droits politiques furent supprimé pour tous et toutes.
Ébauche du rapport de MSF: « Un périple dangereux : les obstacles qui empêchent un accouchement sécuritaire chez les femmes vulnérables à Port-au-Prince »
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Mémoire oubliée : Haïti 1991-1995
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Plan national 2012-2016 de lutte contre les violences faites aux femmes
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Ce rapport traite du regroupement de membres de l’État, de la société civile et des agences de coopération internationale dans la construction d’un plan national pour lutter contre les violences faites aux femmes en Haïti. Ces violences sont basées sur l’appartenance au sexe féminin des victimes et elles ont plusieurs conséquences physiques, sexuelles ou psychologiques. Ce plan national rassemble les actions de ces différents groupes pour rendre plus performants les outils de prévention de la violence faite aux femmes.