Cette publication rapporte certains commentaires et réactions des organisations féministes haïtiennes concernant le passage du président Michel Joseph Martelly à l’émission télévisée de TV5 Monde en novembre 2014. Les organisations concernées décrient les propos tenus par le président sur la question de l’avortement, ce dernier ayant qualifié l’avortement de choix personnel. Les organisations rappellent que l’avortement est encore puni selon l’article 262 du code pénal haïtien et que, pour être un choix personnel, l’avortement doit être dépénalisé.

This document features the Commission Nationale de Vérité et de Justice, created between September 1991 and October 1994. For a time, this document was quite rare and had seemingly been hidden away from the moment of its release. The commission exposes the systemic violence faced by the Haitian population and the secrets kept by certain corrupt politicians. This commission provides an added historical context to Haitian politics and reveals the global efforts to suppress the country in its goals to seek justice for the decades of violence and political instability. (Summary by Mouka)

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Ces dernières années, la violence contre les femmes, y compris la violence sexuelle et la violence domestique (inclues sous le concept de la « violence de genre »), a fait l’objet d’une attention accrue par la communauté internationale. Un grand nombre d’études ont mis en exergue l’impact de ces violences sur la santé des femmes, et plus généralement, sur le développement humain.1 Bien que la violence de genre ne soit certainement pas une problématique nouvelle en Haïti, le séisme de 2010 a eu pour effet de concentrer l’attention des acteurs nationaux et internationaux sur la question.

Cet article discute du droit à l’éducation et du fait que trop de femmes et de filles en sont privées. L’auteure souligne l’importance de garantir l’égalité pour tous et soulève des obstacles auxquels les femmes et les filles font face par rapport à leur éducation.

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Cette recherche, conduite à Port-au-Prince à la fin de 2010 et au début de 2011, examine la situation des femmes et des filles dans les camps de personnes déplacées à la suite du séisme du 12 janvier 2010. Plus précisément, ce rapport étudie l’accès aux services de santé périnatale pour ces femmes et ces filles, l’effet de l’insécurité alimentaire sur la santé maternelle et reproductive, le développement de la pratique du sexe transactionnel, ainsi que la prévalence et les conséquences des violences fondées sur le genre.

This article explores the Haitian legislative system and the question of why laws protecting women and children, or feminist laws are rarely passed without some form of struggle. Pelletan discusses the introduction of a new responsible paternity law as an example of a law that took many years and hard work from feminist groups to be voted on and finally passed. Despite Haiti having a quota for public services to employ at least 30% women, the Haitian senate rarely votes on, passes or implements laws that protect women and increase their quality of life. (Summary by Mouka)

Cet article analyse la portée de l’égalité réelle des femmes et des hommes
dans l’enseignement supérieur en Haïti. Il essaie de cibler les enjeux de cette approche dans la production des connaissances scientifiques utiles au service du développement. Il tente d’exposer de nouvelles méthodes de travail susceptibles de contribuer à la déconstruction de l’ensemble des représentations sociales qui arrangent le masculin et le féminin dans des relations de hiérarchisation. Il propose un cadre stratégique d’intégration et d’institutionnalisation de l’égalité femmes-hommes.

A partir de início do século XX, as mulheres haitianas ganham o protagonismo no espaço público na luta pelo reconhecimento dos seus direitos. Essa luta foi difícil, no entanto, o núcleo de mulheres da classe alta e intelectual desenvolveu um vasto movimento. A organização chamada Liga Feminina de Ação Social (LFAS) torna-se o farol dessa luta para mudar as imagens estereotipadas sobre a mulher e pensar refundar a base sócio-legal que as impediu até então de serem protagonistas no espaço público tal como os homens.

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